Adulte, je n’ai jamais complètement gradué aux livres sans images. J’ai continué à lire des bandes dessinées pour le grand malheur de plusieurs de mes professeurs de français et de mes parents.
Bill Slavin, moi et sa conjointe. |
Parfois, les auteurs que je rencontre, je ne connais pas leur oeuvre à priori. C’était le cas avec Bill Slavin. Il était un invité du 8e RVIBDG en 2007 au Musée Canadien des Civilisations à Gatineau. Il était un des deux anglophones invités. En plus d’eux, il y avait la même diversité francophone des deux côtés de l’Atlantique. Une douzaine de bédéistes en tout.
Bill Slavin dessinant mon éléphant |
Pas tous nos invités parlaient anglais et M. Slavin ne parlait pas beaucoup français donc je l’ai gentiment aidé. Et j’ai appris à le connaître un peu mieux. Il y avait une exposition de ses illustrations et j’aimais bien ce qu’il dessinait. C’était surtout pour la jeunesse. À la fin du festival, je lui ai demandé de me faire un dessin pour mon mur des chef-d’oeuvres. Tout de go, il me dessine un éléphant en trench coat avec un fédora qui me dit «Merci pour la translatine».

Aller voir son blog sur la création d’Otto : http://bigcityotto.blogspot.ca/2010/07/star-is-born-imagining-otto_9811.html.
À l’automne 2011, sa bande dessinée a été publié. Et maintenant à défaut d’avoir un dessin, j’ai une bd que j’ai un (très très très) petit peu inspirée. Milles fois mieux!
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